« Il y avait un manquant. Il y avait un oubli, un blanc, un trou qu’aucun n’avait vu, n’avait su, n’avait voulu voir. On avait disparu. Ça avait disparu »,Georges Perec, Ladisparition.« Mais nous avions ce poids de mort à nos épaules vos bras si décharnés sont plus forts que nos bras notre rire a pour nous l’accent d’un sacrilège et nous devons durcir notre cœur pour braver le regard de vos yeux farouchement ouverts »,Arthur Haulot, « Aux morts », 30 mai 1945. Lié étymologiquement à la douleu..
12 avril 1917 Comme je t'ai regretté aujourd'hui, mon cher Pierre. Le déjeuner que tu as manqué a ét...
Cette brume que [le général de Gaulle] ne dissipe pas, recouvre-t-elle un dessein, mûri ou secret ? ...
« Mon beau navire ô ma mémoireAvons-nous assez naviguéDans une onde mauvaise à boireAvons-nous assez...
Perec se méfie de l’événement. Il a de bonnes raisons pour cela. L’histoire, – « avec sa grande hach...
« Les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre h...
« Je pense pouvoir dire que de 1944, et en tout cas de 1948, à sa mort, nul, sa famille mise à part,...
« Nous avions passé tranquillement une partie de la nuit. Je croyais ma chère maîtresse endormie, et...
La négativité de la littérature et/ou le retour à la réalité Juste après la seconde guerre mondiale,...
De Gaulle Barrès ? Curieusement le sujet n’a guère fait l’objet d’études systématiques. À ma connais...
Gérard Cholvy. – J’aurais voulu savoir si Henri-Irénée. Marrou jeune avait lu Dostoïevski, qui évid...
La mort est la grande affaire de l’homme. Elle est, qu’il le veuille ou non, le révélateur de sa vie...
J’ai promis à sa mère mourante de la protéger, et quelque coupable que fût la malheureuse Sophie, c’...
Au moment où je parle s’arrête l’histoire. Très exactement au bout de notre présent, à l’instant où ...
Je suis particulièrement heureux d’ouvrir cette rencontre dédiée à un homme, peut-être un peu oublié...
à Laurent Evrard Autrefois je vous ai connu bien différent. – Bien différent ? – On ne se moquait pa...
12 avril 1917 Comme je t'ai regretté aujourd'hui, mon cher Pierre. Le déjeuner que tu as manqué a ét...
Cette brume que [le général de Gaulle] ne dissipe pas, recouvre-t-elle un dessein, mûri ou secret ? ...
« Mon beau navire ô ma mémoireAvons-nous assez naviguéDans une onde mauvaise à boireAvons-nous assez...
Perec se méfie de l’événement. Il a de bonnes raisons pour cela. L’histoire, – « avec sa grande hach...
« Les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre h...
« Je pense pouvoir dire que de 1944, et en tout cas de 1948, à sa mort, nul, sa famille mise à part,...
« Nous avions passé tranquillement une partie de la nuit. Je croyais ma chère maîtresse endormie, et...
La négativité de la littérature et/ou le retour à la réalité Juste après la seconde guerre mondiale,...
De Gaulle Barrès ? Curieusement le sujet n’a guère fait l’objet d’études systématiques. À ma connais...
Gérard Cholvy. – J’aurais voulu savoir si Henri-Irénée. Marrou jeune avait lu Dostoïevski, qui évid...
La mort est la grande affaire de l’homme. Elle est, qu’il le veuille ou non, le révélateur de sa vie...
J’ai promis à sa mère mourante de la protéger, et quelque coupable que fût la malheureuse Sophie, c’...
Au moment où je parle s’arrête l’histoire. Très exactement au bout de notre présent, à l’instant où ...
Je suis particulièrement heureux d’ouvrir cette rencontre dédiée à un homme, peut-être un peu oublié...
à Laurent Evrard Autrefois je vous ai connu bien différent. – Bien différent ? – On ne se moquait pa...
12 avril 1917 Comme je t'ai regretté aujourd'hui, mon cher Pierre. Le déjeuner que tu as manqué a ét...
Cette brume que [le général de Gaulle] ne dissipe pas, recouvre-t-elle un dessein, mûri ou secret ? ...
« Mon beau navire ô ma mémoireAvons-nous assez naviguéDans une onde mauvaise à boireAvons-nous assez...