La semaine dernière, je vous présentais Caroline Branchu, haïtienne née de mère française et d'un père libre de couleur, et ses débuts de carrière dans le Paris lyrique du début du XIXe siècle. Si vous ne l'avez pas lu, c'est juste ici ! En 1803, à peine âgée de 25 ans, Caroline accumule donc les reconnaissances : soliste réputée à l'Opéra, elle est également première chanteuse dans la chapelle privée de l'Empereur Napoléon. Malgré cette progression fulgurante, elle reste confrontée à un obs..
Caroline n’aurait pas que l’apprentissage de son métier à faire : il lui faudrait se familiariser av...
Dans son compte rendu du roman de Frédéric Plessis Caroline Gévrot, André Thérive déclare : M. Pless...
Un coin du ciel plombé… des hardes tristes encore chargées d’une eau grisâtre, incapables de s’essor...
Décrire la vie artistique de Mme Branchu serait au-dessus de mes forces, il faudrait pour cela écrir...
Caroline ne ferma pas l’œil de la nuit : la crainte d’avoir commis quelque maladresse dans la prépar...
Les parents, les amis, les proches se sont mobilisés pour marier Caroline Duméril et Charles Mertzdo...
« Ah ! la belle journée ! » se dit Caroline en franchissant le seuil de la maison. À son réveil, ell...
Par un matin de janvier grisonnant et doux, Caroline se trouva à Montréal sur le quai de la gare. Ét...
Strasbourg, le 1er juillet 2016 Chère Caroline, Grâce à notre cohabitation, à notre correspondance, ...
La volonté des éditions de l’Académie de rééditer des auteurs belges injustement oubliés a permis la...
Le premier cours n'est pas encore complétement rapporté ici, puisque nous sommes allés jusqu'à l'an ...
Dans des billets précédents, nous avons suivi l’enfance et l'adolescence de Caroline Duméril, petite...
En 1862 Caroline Duméril, épouse de l'industriel alsacien Charles Mertzdorff, se dit une femme combl...
Caroline Duméril mariée à Charles Mertzdorff au mois de juin 1858 ne tarde pas à être enceinte. Dans...
La lettre du 18 avril 1858 laissait à la veille de la première entrevue entre « le Monsieur qui s’im...
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