Effects of water immersion on renal function in the nephrotic syndrome

Effects of water immersion on renal function in the nephrotic syndrome. Nine adult patients with the nephrotic syndrome were studied during 4 hours of water immersion (WI) to the level of the neck in the seated position and under control conditions. During WI, sodium excretion (UNaV) rose from a mean prestudy level of 45.9 ± 18.7 µEq/min to a mean peak level of 242.2 ± 42.8 µEq/min during the 4th hour. During control studies, UNaV was unchanged. During WI, urine volume rose from 1.1 ± 0.4ml/min and reached a peak level of 7.5 ± 0.8ml/min during the 2nd hour. There were also marked increases in free water clearance and potassium excretion. Plasma renin activity fell from a prestudy level of 5.1 ± 1.3 ng/ml/hr to a nadir of 1.9 ± 0.4 ng/ml/hr during the 2nd hour of WI. Levels were unchanged during control studies. There was a considerable variation in the magnitude of the natriuretic effect of WI between the individual patients. Peak levels of UNaV varied from 55.3 to 488 µEq/min, and net negative sodium balance varied from 12.8 to 105mEq. These variations were found to be directly related to the patient's estimated plasma volume, such that y = 19.2x - 211 (r = 0.84) represented the relationship between the plasma volume and the peak UNaV, and y = 1.9x - 41 (r = 0.81) represented the relationship between plasma volume and net negative sodium balance. These studies indicate that in patients with nephrotic syndrome, as in normal subjects, WI provides a potent natriuretic stimulus that results from expansion of the central blood volume. The magnitude of the natriuresis in nephrotic patients is related to their plasma volume, an observation that might help predict therapeutic benefit of the procedure in the individual patient.Effets de l'immersion dans l'eau sur la fonction rénale dans le syndrome néphrotique. Neuf malades adultes atteints de syndrome néphrotique ont été étudiés au cours de 4 heures d'immersion dans l'eau (WI) jusqu'au cou en position assise et dans des conditions contrôles. Au cours de l'immersion l'excrétion de sodium (UNaV) a augmenté d'une valeur moyenne contrôle de 45,9 ± 18,7 µEq/mn à une valeur moyenne de pic de 242,2 ± 42,8 µEq/mn au cours de la quatrième heure. Au cours des études contrôles UNaV était inchangée. Au cours de l'immersion le débit urinaire a augmenté de 1,1 ± 0,4ml/mn et a atteint une valeur de pic de 7,5 ± 0,8ml/mn au cours de la deuxième heure. Une augmentation importante de la clearance de l'eau libre et de l'excrétion de potassium a été observée. L'activité rénine plasmatique a diminué d'une valeur de 5,1 ± 1,3 ng/ml/h avant l'étude à un minimum de 1,9 ± 0,4 ng/ml/h au cours de la deuxième heure de l'immersion. Au cours des études contrôles les valeurs ont été inchangées. Des variations individuelles considérables dans l'amplitude de l'effet natriurétique de l'immersion ont été observées. La valeur de pic de UNaV a varié de 55,3a488a varié de µEq/min, et net négative l'equilibre sodium 12,8mEq à 105mEq. Ces variations ont été corrélées au volume plasmatique estimé des malades de telle sorte que y = 19,2x - 211 (r = 0,84) a représenté la relation entre le volume plasmatique et la valeur de pic de UNaV, et que y = 1,9x - 41 (r = 0,81) a représenté la relation entre le volume plasmatique et le bilan négatif net de sodium. Ces études indiquent que chez des malades atteints de syndrome néphrotique comme chez les sujets normaux l'immersion produit un stimulus natriurétique puissant qui résulte d'une expansion du volume sanguin central. L'importance de la natriurèse chez les malades atteints de syndrome néphrotique était en relation avec leur volume plasmatique, une observation qui peut aider à prédire l'effet thérapeutique de cette manoeuvre pour un malade donné