Glucose and glycerol compared as osmotic agents for peritoneal dialysis

AbstractGlucose and glycerol compared as osmotic agents for peritoneal dialysis. The potential utility of glycerol as an osmotic agent for peritoneal dialysis was evaluated by conducting both isosmotic and hyperosmotic exchanges in anesthetized rats. Similar exchanges were conducted using glucose, and the results with the two agents were compared. During hyperosmotic exchanges both agents produced significant osmotic flow of water, but at initial molar concentrations that were equal the flow observed with glycerol was nearly 40% less than that observed with glucose. The lower volume transport generated by glycerol was found to be due to its surprisingly rapid removal from peritoneal fluid when it was present at hyperosmotic concentrations, but paradoxically during isosmotic exchanges, when its concentration was low, glycerol was absorbed only slightly faster than glucose. The observed increase in peritoneal permeability when glycerol was used resulted in a twofold increase in the caloric load imposed per unit of water removed in comparison with glucose.Le glucose et le glycérol comparé comme agents osmotiques pour la dialyse péritonéale. L'utilité potentielle du glycérol comme agent osmotique pour la dialyse péritonéale a été évaluée en effectuant des échanges isosmotiques et hyperosmotiques chez des rats anesthésiés. Des échanges similaires ont été faits en utilisant du glucose, et les résultats avec les deux agents ont été comparés. Pendant les échanges hyperosmotiques, les deux agents produisaient un flux d'eau osmotique significatif, mais aux concentrations molaires initiales qui étaient identiques, le flux observé avec le glycérol était environ 40% moindre que celui observé avec le glucose. Il a été trouvé que le plus faible volume de transport généré par le glycérol était dû à sa disparition étonnament rapide du fluide péritonéal lorsqu'il était présent à des concentrations hyperosmotiques mais, paradoxalement, pendant les échanges isosmotiques, lorsque sa concentration était faible, le glycérol n'était absorbé que légèrement plus vite que le glucose. L'augmentation observée de la perméabilité péritonéale lorsque le glycérol était utilisé a entrainé une augmentation de deux fois de la charge calorique imposée par unité d'eau enlevée en comparaison avec le glucose