S’interroger sur le décor de cinéma parait ouvrir un champ de recherche illimité, surtout lorsqu’il s’agit de la création cinématographique de Stanley Kubrick. Indéniablement le décor nous transmet l'état émotif des personnages, illustre l’ambiance des séquences et est même source de jouissance esthétique. Le décor de cinéma chez Kubrick apparaît alors comme un élément prépondérant de son langage cinématographique. Certains décors de ses films font même partie de notre mémoire cinématographique collective. Parmi ses treize longs métrages, cette recherche analyse plus précisément le décor dans A Clockwork Orange / Orange mécanique (1971), décor aussi polémique que le film lui-même. Avec une approche pluridisciplinaire : cinématographique, e...
Pour élaborer une théorie de la vision en tant qu’expérience esthétique, mieux vaut avoir recours à ...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Aucun autre siècle n’a autant inspiré grand comme petit écran, de l’époque des Frères Lumière à cel...
Le film Barry Lyndon (1975) de Stanley Kubrick est peut-être l’oeuvre le moins appréciée du directeu...
Stanley Kubrick peut être décrit comme un réalisateur métagénérique, dans la mesure où ses oeuvres m...
Stanley Kubrick est mort à l'âge de 70 ans, le 7 mars 1999. En treize films, ce réalisateur américai...
Cet essai examine la pertinence éloquente des éléments d'architecture dans les films ...
Aller au cinéma est déjà une expérience en soi. Bien au-delà de l'analyse de film, l'expérience esth...
Aller au cinéma est déjà une expérience en soi. Bien au-delà de l'analyse de film, l'expérience esth...
Au-delà de considérations liées à la continuité et aux ruptures entre l’œuvre originale et sa versio...
Au-delà de considérations liées à la continuité et aux ruptures entre l’œuvre originale et sa versio...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Pour élaborer une théorie de la vision en tant qu’expérience esthétique, mieux vaut avoir recours à ...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Aucun autre siècle n’a autant inspiré grand comme petit écran, de l’époque des Frères Lumière à cel...
Le film Barry Lyndon (1975) de Stanley Kubrick est peut-être l’oeuvre le moins appréciée du directeu...
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Au-delà de considérations liées à la continuité et aux ruptures entre l’œuvre originale et sa versio...
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Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
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Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Des personnages piégés et clos sur eux-mêmes par un cinéaste démiurge aux spectateurs étriqués dans ...
Pour élaborer une théorie de la vision en tant qu’expérience esthétique, mieux vaut avoir recours à ...
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