International audienceLes produits intelligents devraient occuper une place centrale dans la vie des consommateurs au cours des prochaines années. Proches de l’humain par leur « intelligence », doivent-ils aussi ressembler physiquement à des humains ? L’objectif de cette recherche est de tester l’impact de l’anthropomorphisme anatomique d’un produit intelligent, le robot compagnon, sur son acceptation mesurée par l’utilité perçue, la facilité d’utilisation et l’intention d’utilisation. Les résultats de notre étude montrent que, contrairement aux principaux résultats des recherches antérieures, l’apparence humaine du robot compagnon ne favorise pas son acceptation par le consommateur. Nous montrons en revanche qu’un anthropomorphisme partiel...