L'arc antillais est assez favorable aux cultures fruitières. Les petites Antilles (Trinidad, Grenade, Sainte Lucie, Dominique...) n'ont développé que des productions familiales alors que les grandes Antilles (Cuba, Jamaïque, Saint Domingue) se sont lancées dans des productions couvrant de grandes superficies destinées au marché local et à l'éxportation. Aux Antilles françaises, des programmes de plantations fruitières destinées à l'exportation ont dû être abandonnés essentiellement pour des raisons commerciales et seules subsistent les productions de moindre importance destinées au marché local ou à la transformation. Dans un contexte socio-économique souvent difficile, les organismes de recherche des différentes petites îles de la Caraïbe ...