C’est d’une variation un peu particulière sur les « Subjectivités meurtrières » dont il sera question puisqu’il s’agira de les interroger à partir de ce qui est propre au monde globalisé et mathématisé des data qui est le nôtre. Parler de subjectivité, c’est faire référence à un sujet ; un sujet confronté à l’ignorance et à l’incertitude, qui s’émanciperait en s’éprouvant dans le monde des data, y rencontrant ses propres limites par l‘expérience. Dès lors on pourrait penser que dans « Subjectivités meurtrières », il y aurait un paradoxe, à ceci près, que le paradoxe n’étant pas une contradiction mais plutôt une façon de la déjouer, il – le paradoxe, donc - permettrait un dépassement de cette contradiction, sans pour autant l’abolir ni la re...