« La guerre en somme c’était tout ce qu’on ne comprenait pas. Ça ne pouvait pas continuer » , comme s’en effare le héros célinien, Ferdinand Bardamu. En ce centenaire de la Première Guerre mondiale, il convient précisément de mieux comprendre le conflit par un de ses aspects qui ne pouvait continuer d’être largement ignoré dans son Histoire. Il s'agit de la part prise par les agents de l'ordre (policiers et les gendarmes, dans la diversité de leurs statuts et situations) dans les sociétés en guerre, ce théâtre de violence paroxystique qui, de prime abord, laisse penser que les force de l’ordre du temps de paix n’ont (plus) aucun rôle à y jouer. Les potentialités de cette problématique sont plurielles. Un tel champ de recherches donne en eff...