The Influence of the Office of War Information on the Portrayal of Japanese-Americans in the U.S. Films of World War II, 1942-1945

Note:The Office of War Information's influence on the portrayal of Japanese-Americans in motion pictures provides an unusual opportunity for a case study of the implementation of a motion picture propaganda policy. OWI's motion picture program included the production and theatrical distribution of government films and the review before release of feature films produced by the Hollywood studios. The OWI policy on Japanese-Americans is examined to show how it called for three conflicting views. In government films, implementation of the policy became a problem of film technique for government filmmakers. In Hollywood films, the policy was implemented by a special OWI Hollywood Office. The change in that Office's attitude toward the portrayal of Japanese-Americans over the course of the war is detailed through an examination of its film reviews and correspondence. They suggest the emergence of bureaucratic attitudes to deal with the difficult social issues involved.Les pressions exercées par le Office of War Information sur la représentation filmique des Américains d'origine japonaise fournissent l'occasion inhabituelle d'entreprendre une étude de cas de la mise en place d'une politique de propagande cinématographique. Le programme du OWI comprenait la production et la distribution commerciale de films gouvernementaux et le contrôle avant distribution de films hollywoodiens. Un examen de la politique du OWI à l'égard des Américains d'origine japonaise démontre qu'elle faisait appel A trois raisonnements contradictoires. Dans les films gouvernementaux, !'application de cette politique devint un problème de technique pour les cinéastes du gouvernement. Dans les films hollywoodiens, la politique fut appliquées par l'entremise d'un bureau de surveillance spécial à Hollywood. On peut retracer l'évolution des attitudes du OWI a l'égard des Américains d'origine japonaise au cours de la guerre en examinant ses critiques de cinéma et sa correspondance.Celles-ci suggèrent l'émergence d'une attitude bureaucratique destinée à s'occuper des délicates questions sociales soulevées