Il pourra paraître curieux au lecteur que, dans une revue consacrée essentiellement à « la communication », la valeur de cette dernière soit mise en doute. On pourra ne pas être d'accord avec l'auteur de cet article, contester l'existence du problème qu'il pose, son argumentation et ses approches. Mais n'y-a-t-il quand même pas un problème ? A vouloir trop demander à « la communication », ne risque-t-on pas de la présenter comme solution valable pour toutes les questions qui se posent aux hommes et aux sociétés, alors que toutes les questions ne sont peut-être pas entièrement de son ressort ? Ainsi que le dit Gabriel Veraldi, il faut éviter de ne voir que « l'aspect, dit un peu vite, positif , de ce problème difficile ». C'est simplement d...