Живопись мастеров итальянского Возрождения в творчестве Вячеслава Иванова

Grazyna BOBILEWICZ-BRYŠ, The painting of the masters of Italian Renaissance in Viacheslav Ivanov's work. This article examines the influence of the painting of the masters of Italian Renaissance (Sandro Botticelli, Raphael Santi, Leonardo da Vinci, Michelangelo) on Viacheslav Ivanov's work and conception of life. The author of Cor ardens adopts and re-interprets the aesthetic, philosophical and religious program of Italian painters. He refers to their iconographie devices and resorts to their stylistic and formal solutions (in the creation of figures, landscape, scenery, drawing, conception of perspective, etc.). The Renaissance masters, sources of poetical inspiration, as well as their work are for Ivanov symbols of the everlasting world of art, in which beauty is thus immune to the ravages of time.Gražyna BOBILEWICZ-BRYŠ, La peinture des maîtres de la Renaissance italienne dans l 'œuvre de Vjačeslav Ivanov. On a examiné dans cet article l'influence de la peinture des maîtres de la Renaissance italienne (Sandro Botticelli, Raphaël Santi, Léonard de Vinci, Michel-Ange) sur l'œuvre et sur la conception de la vie de Vjačeslav Ivanov. L'auteur de Cor ardens adopte ou réinterprète le programme esthétique, philosophique et religieux des peintres italiens. Il se réfère aux procédés iconographiques de leurs œuvres, à leurs solutions stylistiques, formelles (la création des personnages, le paysage, la mise en scène de la composition, les formes du dessin, la théorie de la perspective, etc.). Les maîtres de la Renaissance, sources d'inspiration poétique, et leurs œuvres sont pour Ivanov le symbole du monde de l'art, étemel, où la beauté, protégée, échappe aux ravages du temps.Bobilewicz-Brys Grażyna. Живопись мастеров итальянского Возрождения в творчестве Вячеслава Иванова. In: Cahiers du monde russe : Russie, Empire russe, Union soviétique, États indépendants, vol. 35, n°1-2, Janvier-juin 1994. Un maître de sagesse au XX e siècle Vjačeslav Ivanov et son temps. pp. 209-223