Bionomics of the common June beetle, Phyllophago anxia (Le conte)(Coleoptera: Scarabaeidae), with particular reference to distribution, life history and natural enemies in southern Quebec

Note:The bionomics of Phyllophaga anxia (LeConte) were studied in southern Quebec during 1975, 1976, and 1977. Spring emergence of adults required approximately 176 degree-days accumulated above a base of 5c. Phyllophaga anxia was the most numerous and widely distributed of the six species of Phyllophaga found. The life cycle of P. anxia in southern Quebec was determined. Overlapping of broods was found to occur in most of the study areas. The dispersion of P. anxia generally fitted the theoretical negative binomial distribution. Optimum sample sizes were calculated for population density estimation. Parasites, predators and pathogens of P. anxia were found in the field. A diplogasterid nematode was shown to cause mortality of P. anxia grubs in laboratory tests. A possible infection of white grubs by entomopoxvirus was studied. Of ten insecticides tested, two organophosphates, fonofos and WL 24073, showed highest contact toxicity for third instars by two different bioassay methods.La bionomie de Phyllophaga anxia (LeConte) fut étudiée au Québec méridional en 1975, 1976 et 1977. L'émergence printanière des adultes requit approximativement 176 degré-jours accumulés au-dessus d'un seuil de 5c. Six espèces de Phyllophaga furent piégées; P. anxia fut capture plus fréquemment que les autres espèces. Le cycle vital de P. anxia a été élucidé pour le Québec méridional. Un Chevauchement des zones d'émergence fut observé dans la plupart des régions d'échantillonnage. La distribution spatiale de P. anxia cadrait généralement avec la loi binomiale négative. On calcula les tailles d'échantillons optimaux pour estimer la densité de population. Parasites, prédateurs et pathogènes de P. anxia furent récoltés sur le terrain. En essais de laboratoire, on démontra qu'un nématode diplogasteride cause la mort des larves de P. anxia. La possibilité d'une infection entomopoxvirale fut également examinée. Lors de tests biologiques sur dix insecticides, deux organophosphores de contact, fonofos et WL 24073, s'avérèrent les plus toxiques envers le troisième stade larvaire