Theorizing cosmic environmental law

Research and planning, inter alia, with regard to space resource mining, terraforming and colonization of celestial bodies is actively being pursued to realize the human-centric benefits, leading to a space race amongst nation-states. The current duration in the space age is quite akin to where the humanity once stood in the history – where land masses were to be claimed and appropriated, the race for resources led to colonization followed by industrial revolution and then by globalization. Today, consequently, humanity stands in an epoch of Anthropocene, where human beings have collectively become a geological force adversely altering the natural ecosystem of the only habitable planet by creating a global climate and environmental impact. Assessing the space race and the trends in the space age, it appears that the history is about to repeat itself, now in the domain of outer space, and an alarming question surfaces as to whether humanity could possibly become a cosmic force, bringing upon itself cosmic environmental harm or an outer space equivalent of Anthropocene. Against this backdrop, this thesis attempts to theorize cosmic environmental laws based on an understanding that the outer space, much like the Earth, is an interdependent natural system with prevailing cosmic order, disruption of which could possibly pose significant threats to the natural in situ conditions of the outer space and also to the closely linked habitability on and of the planet Earth. Further, this thesis challenges the prevailing anthropocentric value system of the human civilization, which is solely responsible for the onset of Anthropocene and makes a persuasive plea for a paradigm shift to cosmocentrism for a true coexistence of humanity with the nature, the cosmos. Accordingly, establishing the notion of cosmic order, arguing for the adoption of cosmocentrism, this thesis critiques from a cosmocentric perspective, the principles established in the international environmental law, particularly as in the international space law, towards the theorization of cosmic environmental laws.La recherche et la planification, notamment en ce qui concerne l'exploitation minière des ressources de l'espace, la terraformation et la colonisation des corps célestes est activement recherché pour réaliser le et axés sur les avantages sociaux, conduisant à une course à l'espace entre les Etats-nations. La durée actuellement dans l'ère de l'espace est assez semblable à l'humanité où s'élevait autrefois dans l'histoire - où les masses terrestres devaient être réclamé et ouverts, la course pour les ressources ont conduit à la colonisation suivie de la révolution industrielle puis par la mondialisation. Aujourd'hui, par conséquent, l'humanité se trouve dans une époque de l'anthropocène, où des êtres humains ont collectivement devenir une force géologique modifier négativement l'écosystème naturel de la seule planète habitable en créant un climat mondial et l'impact sur l’environnement.L'évaluation de la course à l'espace et l'évolution de l'ère spatiale, il semble que l'histoire est sur le point de se répéter, maintenant dans le domaine de l'espace, et un rythme alarmant des surfaces question de savoir si l'humanité pourrait devenir une force cosmique, portant sur lui-même ou un dommage à l'environnement cosmique l'espace équivalent d’anthropocène.Dans ce contexte, cette thèse tente de théoriser les lois de l'environnement cosmique basé sur la compréhension que l'espace extra-atmosphérique, tout comme la Terre, est un système naturel d'interdépendance avec l'ordre cosmique qui prévaut, la perturbation de ce qui pourrait représenter un danger pour le naturel dans des conditions in situ de l'espace extra-atmosphérique et également à l'habitabilité étroitement liés sur et de la planète Terre. En outre, cette thèse conteste la valeur anthropocentrique dominante de la civilisation humaine, qui est seul responsable de l'apparition de l'anthropocène et fait un plaidoyer convaincant pour un changement de paradigme pour cosmocentrism pour une véritable coexistence de l'humanité avec la nature, le cosmos.En conséquence, l'établissement de la notion d'ordre cosmique, plaidant pour l'adoption d'cosmocentrism, cette thèse critiques d'un cosmocentric point de vue, les principes établis dans le droit international de l'environnement, d'autant plus que dans le droit international de l'espace, vers la théorisation cosmique de lois sur l'environnement