Frappé par l\u27omission du texte 1J., 5, 20c, voire même d’un traité spécial sur le Christ vrai Dieu dans certaines éditions christologiques, l’auteur s’est mis à étudier à fond l’histoire de l’exégèse du texte. Il trouve que l’exégèse christologique en doit être admise franchement comme patristique et qu’elle est restée commune jusqu’à la naissance du rationalisme biblique. A l’époque récente, la plupart des catholiques restent fideles à l’interpretation traditionnelle. On entend même des voix acatholiques qui la défendent résolument. Le silence des autres ne peut guère se justifier par les opinions modernes sur l’origine du texte, ni par la christologie »fonctionnelle« de Cullmann, ni, surtout, par la »mode« actuelle de parler le plus po...