Ma toute ch�re Diotime, mon amie, voici la sixieme page de ma lettre. Je crains que vous ne m�attribuez la vanit� de vouloir vous servir d�exemple; je crains que vous ne prenez pour un reproche tout ce que j�ai dit au commencement de ma lettre. Non, mon amie, je n�en ai point dans mon coeur. Vous �tes et vous serez tout pour moi, et je vous supplie de comparer ce que j�ai dit au sujet de la v�tre du 15 � ces sourdes murmures qu�on entendoit quelques fois � Dodone de quelqu�imbecile mortel qui crut que le Dieu trop occup� � l�Olympe negligeoit un peu ses reponses. Adieu, ma toute ch�re Diotime, j�aurois pu rendre celle ci beaucoup plus longue, si j�avois voulu ajouter quelques anecdotes personnelles, mais il vaut mieux de ne pas les confier ...