Lettre 3.77 � 16 octobre 1780 La Haye, ce lundi 16 d�oct. 1780 Ma toute ch�re Diotime, hier au soir je re�us la v�tre avec l�incluse que je vous renvoie. La morale n�en peut pas �tre autrement, et en verit� ce n�est pas tant la faute de l�individu que de notre belle societ�. On ne peut disputer sur la vertu avec qui que ce soit de cette esp�ce, et la morale de la lettre est parfaitement suffissante m�me, pourvu qu�un homme nous montre dans toute occasion et de tous les c�t�s l�image de la vertu. Il nous importe peu s�il nous trompe par la, ou ce qu�il sent et ce qu�il pense ou esp�re de cette vertu ou de son image. Ce qu�il y a de malheureux dans cette affaire, c�est que ceux qui moralisent ainsi, sont ordinairement trop rus�s, ou trop sen...