Lettre 3.71 � 21 septembre 1780 La Haye, ce 21 de sept. 1780 Ma toute ch�re Diotime. Enfin je re�u lundi le soir la v�tre du 14 de ce mois, et je n�aurois pas manqu� d�y repondre le lendemain, si je n�eusse appris par le Prince et Mr. Thulemeyer le malheur arriv� � Mr. votre fr�re, dont Mr. de Furstenberg vous aura donn� la nouvelle � la pri�re du Prince. Vous jugez bien, ma ch�re Diotime, comment je dois sentir un evenement qui vous afflige. J�ai fait des pertes pareilles dans ma vie, et je s�ai ce que c�est. Pourtant, ne vous attendez pas � une consolation de ma part. Je vous connois, et si une ame de la trempe de la v�tre avoit besoin d�autre consolation que de celle qu�elle trouve dans les vastes richesses de sa composition, je croiro...