chez moi et se met � vos pieds. Je me trouve charg� encore pour vous des respect du Myst�re. Je l�ai rencontr�e en rue aujourd�hui, cavaliere et assez bien mont�e. Elle s�embellit beaucoup beaucoup, mais pas encore assez pour moi pour me rendre infidelle. Vous voiez, ma Diotime, que je ne vous ecris maintenant que par le pressant besoin de vous ecrire, ainsi pardonnez le neant de cette lettre. Adieu, ma toute ch�re Diotime, que les Dieux vous conservent. Il y a des momens que je crois que je leur ressemble, car je ne puis m�imaginer qu�ils soient heureux, � moins qu�ils ne sentent entre eux d�une fa�on semblable aux sentiments que je vous porte. Adieu, ma Diotime, des libations � Apollon et Diane. Sokratiskos