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Lettre 3.51 � 10 juillet 1780 Coadj. en autre sur Le Prince Darmstad et St. Ce lundi, le 10 de juillet 1780 Ma toute chere Diotime, j�ai bien re�u les v�tres du 4 et du 7 de ce mois, l�une par le courier, l�autre par la poste. Je vous dirai prealablement que vos afaires ici sont dans un aussi bon etat que nos circonstances le puissent permettre. Hier au soir votre marchand de vin a pass� encore la soir�e chez moi. Il me parut (soit dit entre nous) craindre que vous et Epaminondas vous doutiez un peu qu�il faisoit tous ses efforts pour vous servir; je lui ai asseur� que non, et je vous asseure qu�il fait et fera tout ce qu�il peut, car je s�ai ce qu�il fait. Il me dit qu�on le pressoit de parler aux Autrichiens? et me demanda ce que j�en pensai. Il y a cinq semaines que je le lui avois conseill�, puisqu�alors cela parut �tre necessaire. A present je le lui ai deconseill� fortement, par deux raisons convainquantes: 1o On peut �tre absolument s�r des A., puisque � present par bonheur tous leurs interets coincident