voiois par tout les �mbres de mon bonheur pass�, comme on voit les ruines de la superbe Ath�nes. Quand sentirai je sur vos montagnes que la vie sur cette terre est un bien desirable! J�ai tr�s peu d�amusements. C�est ma faute. J�ai assez d�occupations qui � tout autre paroitroient excessivement ennuiantes, et dont pourtant je me compose une sorte de bonheur. Le temps qui me reste je pense au nouveau dialogue et bien t�t je vous en annon�erai le titre du moins. Je suis presque parvenu deja � oublier tout ce que j�ai jamais appris en droit, et j�esp�re que dans peu j�aurai la t�te vi�rge. C�est une operation que nous ne faisons pas assez souvent dans la vie; cette negligence emp�che les germes du vrai de se developper, de pousser, de fleurir,...