Lettre 3.100 � 10 d�cembre 1781 La Haye, ce lundi 10 de dec. 1781 Ma toute ch�re Diotime, je s�avois bien quel endroit de ma penultieme vous plairoit le plus. Il m�avoit dit la m�me chose, pour le s�ns, dans d�autres occasions, mais jamais avec autant de precision, car en vous le rapportant je me suis servi de ses propres par�les. Vous pouvez compter que cette afaire me sera toujours devant les yeux, puisqu�elle me paroit le poinct capital dans tous les c�s possibles. Je vous renvoie la lettre du Prince qui ne me frappa nullement. Au commencement de la neutralit� arm�e, l�ann�e pass�e, il presenta un memoire, pas mauvais � la verit�, mais qui m�obligea de lui dire que j�ignorai qu�une cour donna des commissions aussi illimit�es; aussi bie...