faut de l�exercice. A six heures et demie je descendois et partis, mais � peine j�avois pass� Bout que le ciel s�obscurcit, les eclairs brillent de tout part, le tonn�re gronde et la pluie recommence. Je pris la sage resolution de retourner � toute jambe � Niethuis, o� je revins bien mouill�. Bient�t nous e�mes un orage comme celui que nous fui�mes quelques jours avant votre depart. Mais la pluie etoit excessive. Lorsque j�allois retrouver mes penates � pied au milieu des ten�bres, je trouvois partout le chemin navigable et m�me sur les dunes � cause de la prodigieuse secheresse qui avoit preced�. En entrant chez moi on m�offre votre lettre consolatrice. Je ne suis plus fatigu�, je ne suis plus mouill�, je suis content et heureux. Par rapp...