Acquisition and Employment Consequences among Southeast Asian Refugees in Canada

Lorsqu’elles sont arrivées au Canada, les femmes réfugiées provenant du sud-est de l’Asie avaient moins de chance de parler l’anglais que les hommes en avaient. L’avantage linguistique des hommes était encore en évidence une décennie plus tard. Les femmes avaient moins d’opportunités que les hommes d’apprendre l’anglais durant la période suivant la migration. Par contre, avec ironie, les femmes ont bénéficié encore plus que les hommes d’opportunités comme des cours de langue seconde en anglais. Cette abilité pour parler l’anglais permet d’augmenter les chances de demeurer dans le marché du travail. Cet effet était encore plus fort chez les femmes que chez les hommes. Les politiques de transfert de population doivent assurer une opportunité sans biais d’acquérir la langue de la société qui reçoit. When they arrived in Canada, female Southeast Asian refugees were far less likely than males to speak English. The male linguistic advantage was still in evidence a decade later. Women had fewer opportunities than men to learn English during the post-migration period. Ironically, however, women benefited even more than their male counterparts from opportunities such as English as a second language (ESL) classes. English-language ability improved the likelihood of staying in the labour market. This effect was even stronger for women than for men. Resettlement policies must ensure unbiased opportunity to acquire the language of the receiving society